Tu bosses en freelance dans le 92 (Boulogne, Issy, Levallois/Neuilly, Courbevoie/Puteaux/La Défense, Nanterre, Rueil, Suresnes, Colombes/Asnières…) ?

Parfait, tu es au cœur d’un écosystème qui paie bien… mais qui peut te grignoter ton bénéfice si tu laisses filer la TVA, la CFE ou tes coûts fixes (coworking, SaaS, déplacements).

L’objectif ici est simple : t’aider à garder plus d’argent sur chaque euro facturé, sans bosser plus.

Ce qui change vraiment quand tu es freelance dans le 92

Les clients corporate (La Défense, sièges à Boulogne/Levallois/Issy) adorent la récurrence et la fiabilité. Bon point pour toi : tu peux vendre des forfaits mensuels, indexés chaque année, avec des SLA (délais de réponse) facturés.

En contrepartie, attends-toi à des délais de paiement plus longs : cale un acompte au démarrage, facture tous les mois (pas “à la fin”), et instaure des pénalités de retard automatiques.

Côté coûts, le 92 est “prime” : coworking cher, déplacements fréquents… d’où l’intérêt du réel (déduction intégrale) et, très souvent, de la TVA au réel pour récupérer la TVA sur tes achats.

Micro, réel, société : choisis pour ton NET, pas pour la “simplicité”

Le micro c’est cool pour démarrer : tu encaisses, tu déclares, un abattement et basta. Sauf que si tu paies un coworking à 400–600 €/mois, 150–250 € de SaaS, un smartphone/ordi correct, un peu de sous-traitance… tu finances tout après impôts et cotisations.

Moralité : dès que tes frais réels dépassent l’abattement, passe en EI au réel pour déduire proprement et remettre de l’ordre dans ton net.

Tu montes encore en puissance ? SASU/EURL (souvent à l’IS) peut devenir pertinente : meilleure image face aux grands comptes, séparation pro/perso, et une rémunération qui mixe salaire + dividendes quand le bénéfice grimpe.

Ne le fais pas “pour faire pro”, fais-le parce que tes chiffres le justifient.

TVA : la fausse simplicité de la franchise

Rester en franchise de TVA semble comfy, mais dans le 92 tu as souvent des achats et de la sous-traitance. Résultat : tu laisses la TVA sur la table.

Sortir de la franchise, c’est commencer à récupérer 20 % sur une partie de tes dépenses : coworking, logiciels, matos, prestas. Si tu factures des pros assujettis (La Défense & co), ils s’en fichent de payer la TVA : c’est neutre pour eux, gagnant pour toi.

Astuces tarifs et offres freelance

Positionne un TJM plancher (en dessous duquel tu ne descends pas), un TJM site client (temps et transports inclus), et un forfait récurrent pour les missions continues.

Ajoute une indexation annuelle (indice simple, même 3–5 %), une option “urgence” (majoration soir/week-end), et facture les indisponibilités (réservations annulées tard).

Deux ou trois clients socle récurrents = loyer payé, stress en moins ; le reste pour les missions mieux payées.

Contrats & cash-flow : bétonne une fois, respire toute l’année

Écris des CGV/Mission sans roman : ce que tu fais, ce que tu ne fais pas, calendrier, droit d’auteur, confidentialité, acompte 30–50 %, facturation mensuelle, pénalités de retard, indemnité de recouvrement, propriété du code/livrables après paiement.

Mentionne ton SIREN, la TVA (ou “TVA non applicable – art. 293 B du CGI” si franchise), ton assurance pro et, en B2C, le médiateur. C’est simple, mais ça change la vie quand ça coince.

Frais qui te bouffent ton bénéfice (et comment les faire bosser pour toi)

Coworking & domiciliation : choisis l’adresse qui crédibilise tes devis… sans surpayer. Au réel, c’est déductible et la TVA est récupérable.

Logiciels : rationalise tes SaaS (3 outils bien utilisés > 7 applis jamais ouvertes).

Matériel : ordi, écran, tél pro, fauteuil (ton dos te dira merci) — amortis proprement.

Déplacements : Navigo/EDP pour Issy/Boulogne/Levallois, voiture si vraiment nécessaire (stationnement, péages, entretien : tout doit être tracé).

Banque & compta : un compte pro clair, des relances auto, et un comptable qui parle “business” (pas juste clôture).

Les vraies astuces 92 que tu peux appliquer dès ce mois-ci

— Propose des forfaits corporate à La Défense/Boulogne/Issy avec créneaux sur site bien bornés et option réactivité payante.
— Teste la TVA au réel si tu dépenses en coworking/SaaS/sous-traitance : l’écart net est souvent immédiat.
— Domicilie intelligemment : image + CFE supportable (toutes les communes du 92 ne se valent pas).
— Indexe tes contrats (3–5 %) et inscrit-le sur le devis. Si tu ne l’écris pas, ça n’existe pas.
— Réserve tes matinées pour produire : réunions clients sur des fenêtres fixes (mardi/jeudi aprem par ex.). Ton taux d’occupation te dira merci.

Ce que ComptaCool fait pour toi

On t’aide à choisir le bon statut (micro, EI réel, SASU/EURL) avec une simulation simple, on cale la TVA (franchise vs réel) sans prise de tête, on structure tes frais pour qu’ils travaillent pour toi, et on te donne un tableau de bord lisible (TJM, charge utile, marge, trésorerie, cotisations/impôts).

Tu payes ce qu’il faut, pas plus.

Besoin d’un rappel clair sur les règles ?

Tu peux jeter un œil aux ressources officielles de l’URSSAF (statuts, seuils, cotisations). Et si tu veux qu’on regarde tes chiffres du 92, on t’explique ce qu’on ferait à ta place. Sans jargon.

Un expert comptable dans le 92 ?

Tu veux passer au cran supérieur ?

Regarde nos tarifs, notre approche sur ComptaCool et écris-nous.

On est là pour t’aider à gagner plus avec le même temps en réalisant ta compta de freelance, surtout dans les Hauts-de-Seine.

En deux mots

Dans le 92, ton net explose quand tu alignes statut, TVA et offres sur la réalité “grands comptes”.

Quelques réglages, une facturation carrée et des frais bien pilotés… et tu gardes enfin plus de cash dans ta poche. 🚀

PS 1 : Notre cabinet est agrée par l’ordre des experts comptables

PS2 : si tu as besoin de précisions ou des questions : expert.comptable@comptacool.fr 😎