Freelance : 7 astuces pour payer moins d’impôts en 2025

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Tu es freelance ou professionnel libéral et la fiscalité te donne des sueurs froides ?
Rassure-toi, tu n’es pas seul. Entre les impôts à prévoir, les cotisations URSSAF, la TVA, la fameuse CFE en fin d’année et toutes les petites lignes du Code général des impôts, on peut vite s’y perdre.

Mais bonne nouvelle : avec quelques astuces fiscales, tu peux optimiser ton résultat fiscal en toute légalité !

Voici 7 conseils concrets pour mieux gérer ta fiscalité de freelance, payer juste ce qu’il faut et pas un euro de trop, le tout sans risquer les foudres du fisc. 🚀

1. Choisis le bon statut pour optimiser tes impôts

Le choix de ton statut juridique est la décision fiscale la plus importante en débutant en freelance. Micro-entreprise, entreprise individuelle au réel, EURL, SASU… chaque statut a des règles d’imposition différentes qui peuvent fortement impacter ce que tu paieras en impôts.

  • Micro-entrepreneur (auto-entrepreneur) : régime ultra simplifié. Tu es imposé à l’impôt sur le revenu (IR) sur tes revenus professionnels, avec un abattement forfaitaire (pas de déduction de frais réels).
    Par exemple, l’administration applique un abattement de 50 % sur ton chiffre d’affaires pour des prestations commerciales, ou 34 % pour une activité libérale, avant de calculer ton impôt.
    Avantage : si ton activité est modeste, tu peux même être non-imposable grâce à cet abattement. Inconvénient : en micro, tu ne peux pas déduire tes dépenses professionnelles réelles dans le calcul de l’impôt. Tu payes donc de l’impôt sur ton chiffre d’affaires après abattement, même si tu as eu beaucoup de frais.
  • Entreprise individuelle au régime réel ou société (EURL, SASU…) : tu peux déduire tous tes frais professionnels de tes revenus imposables. Résultat, tu es imposé seulement sur ton bénéfice net. De plus, si tu crées une société à l’IS (impôt sur les sociétés), le taux d’impôt est de 15 % sur les premiers 42 500 € de bénéfices, puis 25 % au-delà. C’est souvent inférieur au barème de l’impôt sur le revenu, qui lui peut monter jusqu’à 45 % pour les tranches les plus hautes. En clair, passer en société peut devenir avantageux à partir d’un certain niveau de revenus, car tu plafonnes ton impôt à 25 % sur les bénéfices laissés dans la société. Bien sûr, il faut aussi prendre en compte les charges sociales du dirigeant et la complexité administrative supplémentaire d’une société. Mais pour un freelance qui dégage beaucoup de bénéfices, le calcul peut valoir le coup.

Astuce : Réévalue régulièrement ton statut. Au début, la micro-entreprise offre simplicité et franchise de TVA, idéale pour démarrer. Mais dès que ton chiffre d’affaires grimpe ou que tes frais pro augmentent, envisager le régime réel ou la création d’une société peut te faire économiser pas mal d’impôts. N’hésite pas à en parler à un expert-comptable si tu hésites entre plusieurs statuts.

2. Maîtrise la TVA et surveille les seuils de chiffre d’affaires

La TVA, cet acronyme de trois lettres qui fait un peu trembler… Bonne nouvelle, tous les freelances ne sont pas concernés dès le début. En micro-entreprise, tu bénéficies de la franchise en base de TVA, ce qui veut dire que tu ne factures pas de TVA à tes clients tant que tu restes sous certains seuils de chiffre d’affaires. Actuellement (en 2025), ces seuils annuels sont d’environ 34 400 € pour les prestations de services et 85 800 € pour les activités commerciales (ventes de marchandises). Si tu dépasses ces seuils, tu deviens assujetti à la TVA et tu dois commencer à la facturer – et la reverser à l’État bien sûr.

👉 Nouveauté à suivre : une loi de finances avait prévu d’abaisser le seuil unique de TVA à 25 000 € de chiffre d’affaires dès mars 2025, ce qui aurait fait basculer beaucoup de freelances dans la TVA Mais face à la grogne, cette mesure est suspendue jusqu’à fin 2025 Reste quand même vigilant : les règles peuvent changer, donc tiens-toi informé chaque année des seuils en vigueur.

Que faire si tu dépasses les seuils ? Pas de panique, facturer la TVA n’est pas la fin du monde. Certes, tes prestations coûteront 20 % plus cher pour des clients particuliers, mais tu pourras aussi récupérer la TVA sur tes propres achats professionnels. En régime réel, la TVA que tu factures est compensée par la TVA que tu payes sur tes dépenses pro. Au final, tu ne reverses que la différence. Le tout est de bien gérer sa trésorerie, car tu devras faire des déclarations de TVA (souvent trimestrielles ou mensuelles selon ton CA). Un conseil : anticipe et mets de côté la TVA facturée à tes clients, sans la considérer comme une recette à toi, pour pouvoir la reverser sans stress quand l’échéance tombe.

En résumé, tant que tu es sous les seuils, profite de la simplicité de la franchise de TVA (c’est un atout tarifaire auprès de clients particuliers). Mais dès que tu sens que tu vas les dépasser, prépare-toi : informe tes clients qu’à partir de telle date tes factures incluront la TVA, passe peut-être en société ou au régime réel au bon moment (plutôt en début d’année civile pour éviter de payer la TVA en cours d’année), et organise-toi pour tes déclarations. Mieux vaut anticiper le passage à la TVA que le subir en catastrophe !

3. Mets de côté 30 % de chaque paiement pour les impôts et cotisations

C’est tout bête, mais c’est la règle d’or du freelance prévoyant : dès qu’un client te paie, mets environ 25 à 30 % de cette somme de côté sur un compte séparé. Pourquoi ce pourcentage ? Parce qu’il correspond grosso modo à ce que tu devras payer plus tard en cotisations sociales (URSSAF), en impôts sur le revenu, et en CFE (cotisation foncière des entreprises).

En micro-entreprise, les cotisations sociales représentent environ 22 % à 23 % de ton chiffre d’affaires. Ajoute à cela l’impôt sur le revenu (si tu es imposable) et la CFE en fin d’année, et tu arrives vite autour de 25-30 % à réserver. D’ailleurs, beaucoup de freelances ont la mauvaise surprise du « coup de massue » lorsqu’ils doivent payer leurs cotisations ou impôts avec du retard. Ne tombe pas dans ce piège classique où tu dépenses tout ce que tu encaisses et te retrouves coincé au moment de payer l’URSSAF ou le fisc.

Le bon réflexe : ouvre un compte bancaire séparé (même si ce n’est pas obligatoirement un compte pro, un second compte perso dédié peut suffire) et transfère-y systématiquement 25-30 % de chaque paiement que tu reçois. Considère que cet argent n’est pas vraiment le tien – il appartient à l’URSSAF et aux impôts, en quelque sorte, jusqu’à ce que tu t’acquittes de tes obligations. Ainsi, quand viendra le moment de payer tes charges sociales ou ton impôt, tu auras la trésorerie prête et tu pourras dormir sur tes deux oreilles. Et si en fin d’année tu as mis un peu trop de côté (tant mieux), tu pourras te verser un bonus ou le réinvestir dans ton activité.

4. Tire parti des dépenses déductibles (et connais les règles d’abattement)

Une des clés pour payer moins d’impôts en toute légalité, c’est de déduire toutes les charges professionnelles possibles… du moins si ton régime le permet. En micro-entreprise, on l’a vu, tu n’as pas le droit de déduire tes frais réels dans ta déclaration de revenus. À la place, l’administration fiscale applique un abattement forfaitaire (précisé plus haut : 34 %, 50 % ou 71 % selon ton activité) pour estimer tes frais. Cela simplifie la vie, certes, mais si tes dépenses effectives sont supérieures à l’abattement, tu y perds.

Exemple : Tu es consultant freelance (activité libérale) en micro-entreprise. Tu fais 30 000 € de chiffre d’affaires sur l’année, et l’abattement automatique sera de 34 %, c’est-à-dire que tu seras imposé sur 19 800 € de revenu net (30 000 – 34 %). Mais si, pour décrocher ces 30 000 €, tu as en réalité dépensé 15 000 € (matériel, logiciels, déplacements, coworking, formation…), ton bénéfice réel est 15 000 €. En micro, l’administration ne tiendra pas compte de ces 15 000 € de frais réels, l’abattement forfaitaire de 34 % (soit 10 200 €) est moins avantageux pour toi. Conclusion : tu vas payer de l’impôt sur 19 800 € alors que ton gain réel n’est que 15 000 €. Aïe ! 📉

Si tu te retrouves dans ce cas, il est peut-être temps de passer au régime réel (EI ou société) pour pouvoir déduire tes frais réels. En régime réel, toutes tes dépenses professionnelles justifiées sont déductibles de ton chiffre d’affaires pour calculer le bénéfice imposable. Loyer d’un bureau ou d’un coworking, achat d’un nouvel ordinateur, abonnement internet, téléphone pro, frais de déplacement, repas d’affaires, formations, assurances pro, honoraires (avocat, expert-comptable)… Ne laisse rien passer : chaque euro dépensé pour ton activité vient réduire ton bénéfice imposable et donc l’impôt final.

  • Important : garde tous tes justificatifs. Que tu sois en micro (pour justifier l’abattement en cas de contrôle) ou au réel (pour prouver chaque dépense déduite), il te faut conserver factures et tickets pendant au moins 6 ans. Une dépense non justifiée = un redressement potentiel. Range tes factures par catégorie ou par mois, numérise-les et stocke-les proprement. Un bon classement aujourd’hui t’évitera des sueurs froides demain en cas de contrôle fiscal ou URSSAF.

En optimisant la déduction de tes frais, tu réduis mécaniquement ton bénéfice imposable. C’est l’un des leviers les plus puissants pour diminuer légalement tes impôts. Bien sûr, n’achète pas un objet juste pour réduire tes impôts (dépenser 100 pour économiser 30 d’impôts n’a pas grand sens), mais si la dépense est utile pour ton business, fonce et déduis-la. Ton trésorier intérieur te remerciera.

5. Profite des dispositifs fiscaux avantageux (versement libératoire, ACRE, crédits d’impôt…)

Il existe quelques options fiscales et aides spécifiques aux freelances qui peuvent alléger ta facture, à condition de les connaître et d’y être éligible.

  • Le versement libératoire de l’IR : C’est une option offerte aux micro-entrepreneurs. Au lieu de payer ton impôt sur le revenu plus tard via le barème progressif, tu peux choisir de le payer au fil de l’eau chaque mois ou trimestre, en même temps que tes cotisations URSSAF. Concrètement, l’URSSAF prélève un petit pourcentage supplémentaire sur ton chiffre d’affaires: 1 % si tu vends des biens, 1,7 % si tu fais des prestations commerciales, ou 2,2 % pour des prestations libérales. En échange, tu n’auras pas d’impôt sur le revenu à payer en mai de l’année suivante sur ce CA-là – c’est déjà réglé. C’est tentant, mais attention : il faut remplir certaines conditions pour en bénéficier (par exemple, ton revenu fiscal de référence deux ans plus tôt doit être en dessous d’un seuil, ~28 800 € pour une personne seule). De plus, le versement libératoire n’est pas toujours avantageux : si tu es non imposable au barème ou dans une tranche faible, tu paierais peut-être moins d’impôt en n’optant pas pour cette option. En somme, c’est un bon outil pour éviter les grosses régularisations d’impôt et lisser ta trésorerie, mais il faut analyser ta situation avant de cocher la case. N’hésite pas à demander conseil pour savoir si c’est intéressant pour toi.
  • L’ACRE (Aide à la création d’entreprise) : Il s’agit d’une exonération partielle de cotisations sociales pour les créateurs/repreneurs d’entreprise. Les règles ont pas mal changé ces dernières années. En 2025, l’ACRE pour les auto-entrepreneurs permet en gros de payer environ 50 % de cotisations en moins la première année (l’allègement est dégressif sur 4 trimestres). Par exemple, au lieu de payer ~22 % de cotisations, tu paieras autour de 11 % pendant quelques mois. L’ACRE est accordée une seule fois (lors du démarrage de ton activité) et sous conditions (tes revenus ne doivent pas dépasser un plafond de ~41 000 € la première année, entre autres). C’est automatique la première année pour les micro-entrepreneurs depuis 2020, mais il faut quand même en faire la demande lors de la création. Pense-y, c’est toujours ça d’économisé pour démarrer !
  • Crédits d’impôt divers : En tant qu’indépendant, tu peux aussi bénéficier de certains crédits d’impôt personnels si tu réalises des dépenses éligibles (crédit d’impôt formation du dirigeant, crédits d’impôt transition énergétique si tu travailles à domicile et fais des travaux, etc.). Ce ne sont pas des dispositifs propres aux freelances, mais n’oublie pas que tu restes un contribuable comme les autres : pense aux crédits ou déductions auxquels tu as droit sur ta déclaration de revenus personnelle (emploi d’un salarié à domicile, garde d’enfants, dons à des associations, etc.). Ils viendront réduire ton impôt dû le cas échéant.

En bref, intéresse-toi aux options et aides disponibles. Parfois, cocher une case (versement libératoire) ou remplir un formulaire (demande d’ACRE) peut t’économiser des centaines ou milliers d’euros. Ces dispositifs ont tous des conditions et des subtilités, mais un peu de paperasse peut valoir le coup pour optimiser ta fiscalité. Comme toujours, quand tu n’es pas sûr, fais-toi conseiller pour éviter de passer à côté d’une opportunité ou, au contraire, de choisir une option inadaptée.

6. Respecte le calendrier fiscal pour éviter les pénalités

En freelance, la liberté n’exonère pas du calendrier fiscal, hélas 😅. Il y a des échéances à ne pas manquer sous peine de pénalités automatiques. S’organiser pour déclarer et payer dans les temps est essentiel (et ça évite de payer plus à cause de majorations).

Voici les principaux rendez-vous fiscaux et sociaux d’un freelance en 2025 :

  • Tous les mois ou trimestres : déclaration du chiffre d’affaires à l’URSSAF (si micro-entrepreneur). Tu déclares ton CA mensuellement avant la fin du mois suivant ou trimestriellement (avant le 30 avril, 31 juillet, 31 octobre et 31 janvier) selon l’option que tu as choisie. Même si ton CA est zéro, tu dois déclarer (sinon l’URSSAF te mettra une base forfaitaire et des pénalités). Un retard de déclaration = des majorations de 10 % qui tombent, automatique. Donc mets-toi des rappels, utilise l’appli URSSAF, bref, ne zappe pas cette formalité régulière.
  • Mai / Juin : déclaration de revenus (impôt). Chaque printemps, tu déclares l’ensemble de tes revenus de l’année précédente via ta déclaration d’impôt en ligne. Pour les indépendants, cela inclut le fameux formulaire 2042-C PRO. Les échéances varient selon ton département (par exemple en 2025, la date limite était vers le 24 mai pour les départements 1-19, puis fin mai/début juin pour les autres). Retarde pas ce devoir sous peine de devoir payer une amende pour dépôt tardif. Et bien sûr, si tu dois payer de l’impôt, tu recevras ensuite un avis d’imposition à régler généralement en septembre (sauf si tu as opté pour le prélèvement mensuel ou à la source). À noter : si tu es en société à l’IS, tu auras une liasse fiscale à transmettre et possiblement un acompte d’IS à verser dès le printemps, selon ton cas.
  • Fin d’année : CFE (Cotisation Foncière des Entreprises). Tous les freelances y ont droit, micro-entrepreneurs y compris. La CFE est une taxe locale calculée sur la base de la valeur de tes locaux professionnels… même si ton local, c’est ta chambre ou ton garage 😉.
    Bonne nouvelle : l’année de création de ton activité, tu es exonéré de CFE. Mais dès la deuxième année, tu paieras une CFE minimum, sauf si ton CA est vraiment minime (moins de 5 000 €).
    La CFE se déclare via le formulaire 1447-C la première année (pense à le remplir avant le 31 décembre de l’année de création) et ensuite l’avis d’imposition arrive en ligne. L’échéance de paiement est généralement le 15 décembre. Le montant varie selon ta commune, souvent quelques centaines d’euros par an pour une activité sans local dédié. Ne l’oublie pas dans ton budget, beaucoup de micro-entrepreneurs tombent des nues en recevant leur première CFE en décembre !

En respectant ce calendrier, tu évites le stress des rappels et surtout les pénalités de retard. Un freelance averti en vaut deux : inscris toutes ces dates dans ton agenda (ou utilise un outil de compta qui te notifie). Et si vraiment la paperasse et toi ça fait deux, tu peux déléguer ces obligations à un expert-comptable (chez Comptacool par exemple on le fait pour toi 🤗). Mieux vaut payer un pro pour être tranquille que de payer des majorations parce qu’on a procrastiné – on l’a tous fait, mais on le regrette !

7. Ne reste pas seul : fais-toi accompagner pour optimiser et sécuriser ta fiscalité

Dernier conseil, et pas des moindres : n’hésite pas à te faire aider. La compta et la fiscalité, c’est un métier (oui, le mien 😇). En tant que freelance, ton boulot c’est de trouver des clients et réaliser des missions, pas de passer tes soirées sur les déclarations et les textes fiscaux. S’entourer d’un expert-comptable ou utiliser un service dédié aux freelances peut te faire gagner un temps fou et te faire économiser de l’argent au final.

Un pro de la compta saura par exemple : repérer les déductions que tu aurais oubliées, t’aider à choisir le meilleur statut fiscal pour ton cas, te rappeler les échéances pour éviter les pénalités, optimiser ta rémunération si tu es en société, t’informer des nouvelles lois (eh oui, chaque loi de finances peut apporter son lot de changements). Bref, c’est un copilote qui te permet de gérer ton business l’esprit léger et de dormir tranquille en sachant que tout est en règle.

Chez Comptacool, on propose exactement ce genre d’accompagnement sur mesure pour les freelances et indépendants. 🧑‍💼✨ Notre mission ? Te débarrasser de la corvée fiscale et comptable, tout en te faisant profiter des meilleures optimisations légales. Comptacool est un cabinet d’expertise-comptable en ligne agréé par l’Ordre des experts-comptables, 100 % pensé pour les indépendants.

En pratique : tu as un vrai expert humain qui suit ton dossier (pas juste un logiciel), un tarif clair et sans surprise (à partir de 48,99 € HT/mois, tout compris), et une plateforme en ligne simple pour gérer tes factures, tes notes de frais et tes déclarations sans prise de tête. Le tout avec le sourire et sans jargon compliqué. 😉

En gros, on s’occupe de tout ce qui te pèse (comptabilité, fiscalité, déclarations, conseils d’optimisation) pendant que toi tu te concentres sur ton cœur de métier.

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Si l’idée d’avoir enfin la paix avec tes impôts et ta compta te tente, découvre nos services pour freelances ou contacte l’équipe Comptacool pour qu’on discute de ta situation.

On se fera un plaisir de t’aider à payer le juste montant d’impôts, ni plus ni moins, et à éviter les erreurs qui coûtent cher.


En appliquant ces 7 astuces, tu devrais déjà y voir plus clair dans la jungle de la fiscalité freelance. 🤓🔍
La règle à retenir : anticipation et organisation sont tes meilleures alliées pour optimiser tes impôts.

Et rappelle-toi que chaque situation est unique : les conseils d’un expert peuvent faire la différence entre une année galère et une année sereine côté finances.

Alors, prêt à affronter ta fiscalité freelance comme un·e champion·ne ?

Tu as toutes les cartes en main pour gagner en sérénité fiscale et faire décoller ton activité sans que le fisc ne vienne plomber l’ambiance.
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